théâtre Garonne, Atelier 1

Si l’on écrivait l’histoire du monde comme une partition musicale, on y entendrait un effacement progressif des sons de la biosphère au profit du vacarme des machines et infrastructures nées de la révolution industrielle. Un vacarme qui nous rend sourd·es au cri de Gaïa. Prêter l’oreille à ces transformations acoustiques, du rugissement des moteurs thermiques au Printemps silencieux (1962) de Rachel Carlson, permet de saisir l’étendue des ravages écologiques de l’Anthropocène et leurs effets sur la santé du vivant – humains compris.

En partenariat avec l’Atécopol (Atelier d’écologie politique)