En 1955, l’Onia fait vivre à Toulouse une famille sur huit. Au moment de l’explosion, AZF ne compte plus que 425 emplois. L’usine est devenue une nuisance. Plus de vingt ans après l’explosion, un procès au long cours a laissé béantes les incertitudes. Ni les initiatives de scientifiques, ni les enquêtes, ni les expertises, ni la justice n’apporteront de réponse. La question d’une relation confiante entre l’industrie et la population demeure entière et le reste à penser en matière de sécurité industrielle est immense.

Pour accéder au Centre hospitalier Gérard-Marchant

Depuis Ramonville Saint-Agne (terminus de la ligne B), prendre le bus L5 à destination de Portet Gare SNCF. Descendre à l'arrêt Marchant Toulouse

↑ Vue de l'usine de l'ONIA en bordure de Garonne (Toulouse, 9 septembre 1961) © André Cros, archives municipales de Toulouse via Wikimedia Commons